Le Net du Kermeur

L’installation d’OpenBSD sur un serveur hébergé pose parfois problème, ce choix n’étant pas proposé dans le menu d’installation. La procédure ci-dessous propose une solution pour ce cas et a été testé sur l’offre DigiOne de Digicube.

Installer une distribution Debian mais en partitionnant le disque et en ne conservant qu’une faible partie pour la distribution Linux.

Installer GRUB

Installer QEMU

Créer une partition OpenBSD (type A6) sur le reste du disque.

Relever dans le dmesg de Linux, le modèle de la carte réseau, Realtek 8168 dans notre cas.

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Deux ans après un premier point sur le déploiement de la solution Wimax de Penn Ar Bed Numérique, le mouvement de bascule d’abonnés en Wifi à cette solution se poursuit et nous a permis à ce jour de déposer 5 relais.

Cette simplification de l’architecture réseau, associée à la mise en place d’une nouvelle collecte l’hiver dernier, facilite la montée en débit pour les abonnés inéligibles au Wimax et demeurant dans le réseau.

Par rapport aux offres Wimax de première génération déployées sur d’autres départements, en général limitées à 2Mbps, l’offre de Penn Ar Bed Numérique propose un débit max de 10Mbps en download, ce qui en fait une solution intéressante, non seulement pour les abonnés en zone blanche Adsl, mais aussi pour tous ceux qui ont un accès ADSL un peu limité (4 Mbps et moins).

Les offres de deux opérateurs, Alsatis et Wibox, sont accessibles à cette page.

La webradio reste souvent mésestimée, masquée par l’offre télévision, alors même qu’elle a tous les atouts pour une offre de qualité, à la hauteur (voire au dessus) de la transmission FM classique avec des émissions en 128Kbps, 192Kbps et plus; la faible qualité obtenue (en général) sur le micro-ordinateur n’est due qu’à la qualité médiocre des cartes sons.

Un récepteur dédié permet de rétablir la part des choses, la solution la plus simple reste évidemment d’utiliser une platine réseau, quelques modèles ci-dessous :

Marantz NA-11S1 (Diapason d’or 10/2013)
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Bien qu’il existe sur le marché divers routeurs Multiwan, une solution faisant appel à un routeur Mikrotik permet d’affiner les critères du partage de charge, en jouant sur les possibilités de /ip firewall mangle et en particulier les options Per Connection Classifier.

Le choix d’une RB750UP permet d’utiliser jusqu’à 4 liens Wan et de plus de réinitialiser électriquement les modems alimentés en POE  (commande RouterOs /interface ethernet poe …),

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Le montage permet, par de simples requêtes Http, les mesures à distance de la station solaire et le contrôle de l’utilisation pour d’éventuels délestages.

Il est basé sur un EPSOLAR Tracer 2210RN , et devrait être applicable aux autres modèles de la série Tracer ( Tracer-1206RN / Tracer-1210RN, Tracer-3215RN, etc …) du même constructeur (non testé).

Ce régulateur solaire, de type MPPT, comporte une interface série au niveau TTL dialoguant avec un module Arduino OLIMEX (micro-contrôleur Atmega 328), et son extension éthernet. La gestion de l’alimentation de la carte Ethernet réduit la consommation moyenne à ~25mA sous 12V, ce qui en fait un montage plus économe que celui utilisé auparavant depuis 2007.

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Le protocole CDP (Cisco Discovery Protocol) est implanté dans RouterOS et AirOS.

Sur les équipements Mikrotik la liste des détections se trouve sous l’arborescence /ip neigbour et les équipements Ubiquiti y apparaissent pour autant que la case ‘Discovery’ soit coché.

Sous Linux, *BSD, etc…, le daemon ladvd permet de faire apparaître les machines dans le voisinage Mikrotik, sous réserve d’émettre des annonces CDP en version 1, ce qui oblige à modifier et recompiler.

De nouveau une modification de la collecte pour faire face à la montée en débit, la cinquième depuis la mise en service en 2005.

Une collecte fibre est déportée par un FH, le principal intérêt de cette solution reste l’évolutivité face à la montée en débit, une modification se réduisant à un simple avenant au contrat sans modification du matériel installé.

Pour améliorer la capacité de commutation, le cœur de réseau est upgradé en Gigabit éthernet.

L’adressage en IP publiques (v4 et v6) est généralisé à tous les abonnés, chaque abonné dispose d’une adresse IPv4 et d’un préfixe /56 en IPv6 (256 réseaux); la livraison chez peut se faire au niveau 2 (CPE en mode bridge),  sous certaines conditions, s’il dispose des équipements ad-hoc (routeurs Cisco, Lancom, etc …)

Pour des raisons évidentes de sécurité, le routage IP v6 n’est activé qu’après accord de l’abonné.

Références :

GUIDELINES FOR THE SECURE DEPLOYMENT OF IPV6

Lothaire Yarding de Julien Vaubourg

Remise à niveau du relais du Grinec mis en service en février 2008, et qui s’est avéré depuis sensible à la foudre.

Dépose de la carte Routerboard et mise en place de deux Ubiquiti Bullet en mode bridge connectés à un routeur Mikrotik RB750UP, ce qui permet les coupures électriques à distance; les antennes restent inchangées.

Une intervention avec Jo bien sûr, même si, passé au Wimax, il n’est plus abonné de notre réseau.

Cet article vient compléter un premier post sur le sujet en Octobre 2010.

Avec la sortie de la version 5.5 d’AirOS, en Avril 2012, il n’est plus nécessaire de modifier le bridge dans le script rc.poststart, toutes les configurations peuvent être faites dans l’onglet Network, en sélectionnant le mode Advanced.

Airos Mode Advanced

Le second équipement, en général en mode AP, peut très bien être autre chose que de l’Ubiquiti, le critère à respecter est la capacité de la Nanostation à l’alimenter électriquement.

Le problème de fonctionnement du POE Passtrough, signalé dans le premier article,  ne semble concerner que les toutes premières Nanostations de série M et serait résolu.

Les cartes Alix peuvent démarrer soit d’un disque dur (ou d’une carte flash), soit en mode PXE sur le réseau en activant l’option E dans le bios setup de la carte.

Quand le mode PXE est activé, la carte tente de démarrer du réseau en recherchant un serveur de boot PXE (dhcpd et tftpd); en cas d’échec, elle tente de démarrer du disque local.

Il est donc assez aisé d’obtenir deux modes de démarrage, un mode normal du disque dur en désactivant le serveur de boot et un mode de maintenance permettant les mises à jour, les contrôles des disques, etc …

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